Les lumières de Lubbock :
        
        
 5 Août 1951 à 21 h 10, le docteur W.
        I. Robinson, professeur de géologie au Collège
        technologique du Texas, se trouve dans le jardin à
        l'arrière de sa maison, discutant avec 2 de ses collègues :
        le docteur A. G. Oberg, professeur d'ingéniérie chimique,
        et le professeur W. L. Ducker, chef du département
        d'ingéniérie pétrolière. La nuit est claire et sombre.
        
        
        Soudain les 3 hommes voient de nombreuses lumières foncer
        sans bruit à travers le ciel, de l'horizon Nord à l'horizon
        Sud, en quelques secondes. Leur impression est celle d'une
        grappe d'une trentaine de perles lumineuses, disposées en
        formation croissante.
        
        Un moment plus tard une autre formation similaire éclaire
        la nuit. Cette fois les scientifiques sont capables de
        juger : les lumières se déplacent de 30° d'arc en 1 s, à
        environ 45° au-dessus de l'horizon.
        
        
        Une vérification le jour suivant avec l'USAF indique
        qu'aucun avion ne se trouvait au-dessus de la zone à ce
        moment [cas Blue Book n° 955 non expliqué].
        
        
        La nuit du 30 Août, une tentative de photographie des
        lumières est faite par Carl Hart Junior, un étudiant de
        Texas Tech de 18 ans. Il utilise un appareil Kodak 35-mm
        avec une focale de f 3,5 et une ouverture de 1/10 de
        seconde. Travaillant rapidement, Hart parvient à obtenir 5
        expositions des lumières. Le lendemain, il remet les
        photographies au Lubbock Evening Avalanche. Les images
        présentées par Hart comme le résultat de ses efforts,
        authentifiées par des experts, montrent 18 à 20 objets
        lumineux, plus intenses que la planète Vénus, arrangés en
        un ou deux croissants. Dans diverses photographies, à
        l'écart d'un côté du vol principal, une luminosité plus
        forte est visible — comme un vaisseau mère
        stationnant près de la portée aérienne.
        
        
        En fait ces observations n'auront été qu'un commencement :
        jusqu'en Novembre, le professeur Ducker observe 12 vols des
        objets lumineux. Certains de ses collègues en observent
        jusqu'à une dizaine. Des centaines d'observateurs non
        scientifiques dans le large voisinage de Lubbock voient eux
        aussi jusqu'à 3 vols des mystérieux croissants en une nuit
        
        
        Les observations ont été trop nombreuses et semblables pour
        être mises en doute. De plus l'USAF, après un examen des
        plus minutieux, n'a décelé aucune fraude dans les images de
        Hart. Les lumières sont trop brillantes pour être des
        reflets, et par conséquent des corps contenant des sources
        de lumière. Les professeurs Ducker, Oberg, et Robinson
        n'ayant pu mesurer la taille et la distance des formations,
        ils ne peuvent fournir d'estimation précise de leur
        vitesse. Cependant ils ont calculé que si les lumières
        volaient à une altitude de 5000 pieds elle devaient se
        déplacer à 1800 miles/h. Les professeurs, ainsi que leur
        scientifiques, s'accordent sur le fait que pour expliquer
        le silence des objets, on doit supposer qu'ils se
        trouvaient à 50000 pieds dans les airs; dans ce cas elles
        ne devaient pas se déplacer à 1800 mais 18000 miles/h.
        
        
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